Paroles de PAL, mon mois de septembre

Pour ce dimanche pluvieux, je suis bercée par une douce musique, les éclats de bois qui pétillent dans la cheminée, le chuchotement des pages qui se tournent. C’est un bonheur simple. Mon lutin prend soin de moi depuis quelques temps, et je suis heureuse de voir mes étagères se remplir au fur à mesure que d’autres se vident. J’ose dire : enfin.

Je sais déjà quels volumes vont rejoindre les rangs des livres lus, et j’ai quelques pistes sur quelques futures entrées. C’est avec un plaisir que j’espère communicatif, que je vous présente quelques gourmandises choisies pas notre étrange créature bipède.

Voici donc les romans, novellas et livres interactif acquis par la patronne.

Avec un focus sur Adam-Troy Castro pour le mois d’octobre, le dernier UHL de l’auteur vient compléter la panoplie de Marionnettes disponibles en version française.

Les Fils Enchevêtrés des Marionnettes : CONFINS GALACTIQUES. Planète Vlhan.
Les natifs de ce monde reculé, manière de géants sphériques dotés de membres longs et souples pareils à des fouets, se livrent chaque année au rituel le plus étrange qui soit : le Ballet. Une danse qu’aucune race sentiente ne parvient à décrypter, un partage codifié impénétrable auquel participent des dizaines de milliers d’individus. Susceptible de durer plusieurs jours, le Ballet s’achève irrévocablement par un climax terrifiant : la mort de ceux qui y prennent part. De tous les coins de la Galaxie, ils sont nombreux à venir assister au déroulé de cette fascinante coutume, humains en tête. À ceci près que depuis peu, beaucoup chez ces derniers ne se contentent plus du rôle de spectateurs, mais brûlent de s’impliquer dans l’événement

Continuons avec la collection UHL, car votre lutin a pour objectif d’affiner son top 10 des titres de la collection du Bélial, et avec un auteur qu’elle apprécie particulièrement, Alastair Reynolds.

De L’espace et du Temps : Mars, d’ici deux décennies…
Au début, ils ont cru pouvoir y échapper. Jusqu’à ce que la Catastrophe, un virus militarisé qui a fauché l’humanité en un temps record, frappe la colonie à son tour. Aussi, depuis qu’il a inhumé Katrina Solovyova, John est seul, il ne reste plus que lui. Lui et Pavonis Mons, qu’il contemple à travers une baie blindée. Et aussi ce mystérieux piano blanc, un Bösendorfer — et ce non moins mystérieux musicien excentrique aux lunettes ridicules qui lui parle parfois…

Restons à la fois sur Mars, et en compagnie de la maison d’édition Le Bélail, et surtout de ce même Alastair Reynolds, avec nul autre que le diablement attirant La Grande Muraille de Mars et sa superbe couverture, un recueil qui émerveillera les neurones de nombreux lecteurs.

Ne quittons pas l’espace, mais changeons de registre. Sans doute moins doux, en étant percutant et prometteur. Il nous faut un peu d’action, quelques baffes si possible aussi.

La Porteuse de Mort de Stark Holborn : Ancienne médecin militaire, elle répond au nom de Dix Low, car elle a passé dix ans en prison. Depuis la fin de la guerre, elle survit sur Factis, une lune pénitentiaire désertique qu’on dit hantée par une espèce extraterrestre énigmatique et invisible : les Si. Parce qu’elle entretient un rapport particulier, intime, avec les Si, on la surnomme la Porteuse de mort.

Toujours chez Albin Michel Imaginaire, encore un roman qui n’est pas une nouveauté (mais, il n’y pas de surprise, cela était annoncé, je suis une PAL qui a du caractère, je ne veux dans mes entrailles que des livres dont j’ai envie.). Nous renouons avec le monde étrange de Laurent Genefort.

La Croisière Bleue : En ce début de XXe siècle où règne l’antigravité, camions, voitures, navires parcourent le ciel. Les majestueux transatlantiques traversent mers et océans puis, une fois la côte atteinte, sont remorqués par des locomotives et se transforment en paquebots transcontinentaux. En 1923, lorsque l’Agénor appareille et que débute la croisière bleue, la quête de nouveaux gisements de cavorite exacerbe les luttes entre grandes puissances. À bord de l’Agénor, le transcontinental reliant l’Europe aux confins de l’Asie, un meurtre inexplicable a lieu

Aussitôt acheté, aussitôt lu : Guns at the Dawn de Tchaïkovsky avec le focus de septembre sur cet auteur.

Enfin, il y a aussi un volet archéologique sur mes étagères, et même ludique. Votre lutin a réussi à réunir les 3 premiers tomes de Sorcellerie!, une saga mythique du livre interactif. Hélas, le 4° tome semble vouloir lui échapper…

Et enfin, Halloween se profilant à l’horizon, il fallait bien que je déniche un livre pour honorer cette soirée crépusculaire, ce sera avec La Nuit du Nécromancien de Jonathan Greene :

De retour à Valsinore après de longues années de lutte contre les forces des ténèbres, vous pensez profiter d’un repos bien mérité quand vous tombez dans un guet-apens et que vous vous écroulez, raide-mort. Enfin, pas tout à fait… Vous êtes désormais un spectre et il va VOUS falloir terrasser le terrible Nécromancien si vous ne voulez pas subir un sort pire que la mort elle-même. Mais attention, le temps vous est compté: vous ne disposez que d’une nuit pour parvenir à vos fins…

Et les 2 ou 3 titres que je souhaite avoir pour mon petit-déjeuner de début novembre :

  • Cuirassés de Tchaïkovsky
  • Jour Zero de C. Robert Cagill
  • Dans le Berceau du Temps de Tchaïkovsky

9 réflexions sur “Paroles de PAL, mon mois de septembre

  1. Quel appétit tu as ! J’aime beaucoup tes menus, composé d’auteurs que j’affectionne et aimerais continuer de découvrir.
    J’ai d’ailleurs également reçu le copieux recueil de Reynolds 🤩
    Belles lectures au coin du feu !

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